« Notre technologie était trop en amont pour intéresser des investisseurs »
« Nous avions déposé un brevet grâce à INSERM transfert sur une cible moléculaire pour l'épilepsie du lobe temporal, mais nous n'avions alors pas le projet de développer nous-mêmes vers une application thérapeutique. Des investisseurs privés dit « scouts » sont venus nous rendre visite au laboratoire et se sont montrés très intéressés par nos recherches. C’est comme cela que nous avons compris que notre projet pouvait être valorisé ! Mais notre technologie était encore trop en amont pour aller plus loin. Après une prématuration avec l’Idex de Bordeaux, la SATT a décidé de financer le programme de maturation. Quand le projet aura passé le pipeline des différentes études pré-cliniques, la création d'une société est envisagée pour valider l'outil thérapeutique ; et nous pourrons dire enfin que nous sommes arrivés au bout d’une belle histoire ».
Christophe Mulle, Directeur de recherche au CNRS, porteur du projet EPIKAR
> En savoir plus sur le projet Epikar (p.15)